vendredi 10 juin 2011

Syndrome de l'Expression déliquescente

Crois avoir croisé Éloïse il y a quelques jours - stop - ne suis pas sûr qu'il s'agit d'elle parce que souvent incapable de reconnaître sa propre sœur dans la rue - stop - crois l'avoir reconnu à sa façon de cacher subitement son visage dans son téléphone portable - stop - s'en veut de penser cela - stop - et pourtant - stop -

… Il y a des moments où on ne trouve pas les mots pour dire tout ce qu'on voudrait ajouter.

4 commentaires:

  1. Ah merde, la rencontre fantomatique incertaine, c'est ce qu'il y a de pire !

    Et là, que ce soit justement elle....

    Accroche toi, mon ami. Ne perds pas pied.

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  2. Les gens sont méchants Franck, ne t'en occupe pas trop

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  3. "Mon cœur saigne, il n'y a pas de mots", comme dit l'Autre (Rodrigo Garcia) (dans "L'avantage avec les animaux [c'est qu'ils t'aiment sans poser de question]", si je me souviens bien). Tu devrais lire du Rodrigo Garcia, Franck, si ça n'est pas déjà fait, ça te plairait je pense. Notamment "Fallait rester chez vous, têtes de nœud" (mon préféré, je pense), "Vous êtes tous des fils de pute", "L'Histoire de Ronald le clown de chez Mc Donald's" et "J'ai acheté une pelle à Ikea pour creuser ma tombe" et "Et balancez mes cendres sur Mickey" et "Approche de l'idée de méfiance". Oh purée il en a sorti d'autres en 2009, je les ai pas...

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  4. Ha ha ha! Merci pour le com Cha.

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