Elle a commencé à se maquiller du jour au lendemain.
Attention, je parle du pur maquillage, le maquillage en mode Ripolin.
Avant, il y avait du raffinement dans son Khol, dans le rose de ses pommettes. Aujourd'hui elle a derrière son regard toujours une flopée de larmes prêtes à couler. Qui ne coulent jamais. Sauf une fois, quand je lui ai demandé comment s'étaient passées ses vacances.
Aujourd'hui, elle a toujours le sourire. Un sourire de Ripolin, comme son maquillage, pour cacher, comme la peinture, les fissures de son âme.
Elle a beau n'être qu'une collègue de travail, je repense souvent à la mort de sa mère.
Is this the end ?
Il y a 4 mois
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire